jueves, 22 de septiembre de 2011

Fragment d’(in)certitude(1)

L’amour déconcertant,
l’espérance folle,
l’abattement d’un coup,
le doute lancinant,
les larmes à l’infini,
et le lampadaire qui n’éclaire rien,
le désespoir du sexe,
la révolte toujours,
le vide de sens,
la soumission, la nuit
la souris verte qui chante,
la haine parfois,
l’envie de se taire,
l’envie de crier, sur les toits
le monde en morceaux, là par terre
le rebord d’une falaise, et moi au fond.


Et merde, je n’ai pas envie de traduire.

2 comentarios:

Lucía Robles dijo...

Jajaja, il ne faut pas traduire le poème. Ce "merde" me plaît.

María Socorro Luis dijo...

Mais oui, il ne faut pas de le traduire.

Et toi, au fond?...