domingo, 18 de septiembre de 2011

De l'aveu

J’allais écrire, je hais la poésie, cette chirurgie du désir signifiant la défaite du réel. J’allais écrire que je hais l’absence qu’elle me signifie, ton absence. Cette absence dont je ne peux me passer, sans mourir définitivement. Puis mon esprit c’est mis à divaguer, de- ci, de-là, et j’ai pensé: j’aime les femmes. Oh! Il ne s’agit pas seulement du désir de leur corps, cela aussi bien sur. J’aime comme elles sont, contradictoires, tendres, parfois cruelles, drôles et si vraies. C’est peut-être pour ça que j’aime la poésie des femmes. La poésie des hommes, en comparaison, me parait, sauf quelques exceptions, lourde et sans imagination. Dans l’écriture des femmes, même quand ce n’est pas génial, il y a quelque chose de vrai. Et puis, bien au-dessus des autres, il y a Toi et la fleur de ta poésie. Une fleur qui semble avoir poussé une racine, quelque part du côté de ma poitrine. Je voulais écrire ma haine de la poésie et je ne peux qu’avouer mon amour.  

2 comentarios:

Isolda Wagner dijo...

Va a ser difícil que odies la poesía, ¿qué es si no la última frase? En cuanto al resto, no estoy de acuerdo. Hombres y mujeres pueden ser igual de contradictorios, crueles, tiernos, pesadísimos, falsos y todo tipo de adjetivos. Simplemente, tú miras, como confiesas, por los ojos de una mujer concreta. Eso es amor, dices.
Sigue en clave poética, siempre ayuda.Te sugiero que traduzcas, esto ya no es Orange bleu.
Bisous.

José María Alloza. dijo...

Tienes razón, llego a la misma conclusión, algo tendré que hacer, ¿Pistola, salto de un puente? Respecto al comparativo hombres mujeres, no pretendo enunciar ley universal, solo es lo que siento.
Bisous
PD. Gracias por la sugerencia, también puedo cambiar el nombre del blog.;-)