miércoles, 3 de noviembre de 2010

L'épée de la muse.

Avec ceux que nous aimons,  nous avons cessé de parler, 
et ce n’est pas un silence. R. Char.


La météo semble excellente,
au corbeau famélique, perché
sur l’ondulation automnale
d’un brouillard amnésique.

A l’ombre de l’épée
délaissée
par les cauchemars
étranges,
dans un cercle,
désormais silencieux,
la tâche sombre
dans le sable
lentement sombre,
rouillée.

Le néant se soucie de l’ombre
qui portait son nom, tempérance
d’un haillon aux désirs tranchés.


Que veux-tu ? Ma vie ? Je te la donne.

1 comentario:

Ricardo Miñana dijo...

Esa postura no esta nada mal, pero el miron ese a pesar de su cara, seguro que se lo pasa bomba.
feliz semana.
un abrazo.