lunes, 8 de noviembre de 2010

Exilé.


Exilé
au plus profond
des silences
ce sont les larmes plurielles
des poèmes sémaphores,
au rouge vif ;
Et ce n’est pas nostalgie,
c’est présence,
présence absolue.


Toi !
Ma blessure !
Métamorphose
d’ors vocatifs,
qui vole
en bourrasques
et conjugue le sel
espérant recevoir
l’écho métonymie,
qui coud ou fusionne,
dans la perspective
inverse,
là ou j’invente
les paroles marines.


Dans ton feu
mon destin,
amour,
vie,
au coin
de tes hanches
au plus intime,
rêvées.


Panier de mes jours,
faim d’un mythe,
ou d’une déesse ,
les doigts sur mes joues,
bouche à bouche,
allégresse d’armistice.


Comment t’arracher de ce cœur ?

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