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Exilé.
Exiléau plus profond des silencesce sont les larmes pluriellesdes poèmes sémaphores,au rouge vif ;Et ce n’est pas nostalgie,c’est présence,présence absolue.
Toi !Ma blessure !Métamorphosed’ors vocatifs,qui voleen bourrasqueset conjugue le sel espérant recevoirl’écho métonymie,qui coud ou fusionne,dans la perspectiveinverse,là ou j’inventeles paroles marines.
Dans ton feumon destin,amour,vie,au coin de tes hanchesau plus intime,rêvées.
Panier de mes jours,faim d’un mythe,ou d’une déesse ,les doigts sur mes joues,bouche à bouche,allégresse d’armistice.
Comment t’arracher de ce cœur ?
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