domingo, 10 de octubre de 2010

Il pleut, des becs à gaz.

Étant donnés : 1) La chute d’eau, 2) le gaz d’éclairage
Marcel Duchamp


Etant donné que le spectacle de la vie,
remplace ce qu’était directement vécu ;
Il ne se passe pas rien, quoique,
la mort réglera peut-être les surplus
dépouillés de signification.

A nous qui désirons au-delà de la mort,
le rêve devient socialement nécessaire,
mais on ne peut entendre celui qui écoute.
Il y a comme un grain de sable dans le nombril…

Je mange une crêpe
aux pommes cannelle,
flambée au Calvados,
le thé à la vanille est chaud,
et je l’aime au-delà du possible
et de l’impossible, d’une chute de reins…
Mais, ou sont les becs à gaz ?
D' ailleurs c'est toujours les autres qui meurent.

Il pleut dehors, à seaux.

4 comentarios:

Índigo dijo...

Une mystérieuse pluie de blocs de glace bloque notre esprit qui, pourtant, est gazeux...

Jose Zúñiga dijo...

Qué sereno poema. Si en algo te sirvieron mis fragmentos cuánto me alegro.
Abrazo

Rosa María dijo...

La verdad que me haces entrar y recordar mi francés, pero al mismo tiempo repaso algo casi olvidado.
La muerte parece que sigue siendo la incógnita de nuevos espetáculos, para ella siempre hay una butaca esperando.
Un saludiño

Rosa María dijo...

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