miércoles, 13 de octubre de 2010

Bénarès



Les buchers crépitent,
les flammes illuminent
la nuit du fleuve.

Les jasmins ont oublié
l’agneau carnivore
dans les plis de l’écriture,
c’est l’éclat du silence
glacé
qui berce le cœur brisé,
champ des possibles
de douleur semé.
A Bénarès
le temps s’est arrêté.

4 comentarios:

Índigo dijo...

Tes mots et la photo illustrent bien la beauté lorsque le temps s'arrête, dans ce cas, à Bénarès...

Andrea dijo...

l'éclat du silence glacé
qui berce le coeur brisé,
champ des possibles
de douleur semé.

ça c'est magnifique, genial mon amie.

José María Alloza dijo...

Andrea, eres un sol, que lo sepas.
Bises

José María Alloza dijo...

Parfois tout s'arrête dans la douleur, Indigo,
et cependant cela peut-être beau, quand même ...
On est des drôles de zebres, les humains :-)
Bises