jueves, 5 de agosto de 2010

Lumière

Stephan de Lay

Une aube bleue
Profondeur de tes yeux
L’eau se brise
Parfois une lumière
Au théâtre d'ombres



Tragique désespoir de l’existence.
On est saisi de stupeur quand le néant frappe à la porte.
Mais ce néant ce n'est que le miroir de l'enfermement
de soi avec soi, et la solitude n'est qu'absence du temps.

Le salut réside dans la dissonance entre le sujet et l'être.
C'est dans cette faille que l'on peut percevoir la lumière,
le possible et le présent, l'Autre qui est temps.
Espérance, au-delà d’être…

2 comentarios:

ANDROMEDA dijo...

leo tu otro blog, escribis muy bello...pense que este blog se podria traducir...hay forma?
besos!!!
no entiendo frances, y por las imagenes, me encantaria leer tus palabras...

José María Alloza dijo...

Una gran parte de los escritos de está pagina los encontraras en Amadeus. Algunas veces los escribo primero en español, otras en francés…
No todos están traducidos, algunas veces porque no es tan fácil traducir la poesía, otras no sé porque…
Este debería traducirlo, salvo el tanka que no es nada evidente a traducir…
Besos