foto JM Alloza.
Au guichet automatique,
voulant retirer une œuvre
d’art,
il s’est noyé dans le battement
d’un cil tempête, clôture
des yeux
qui dessinent la nouvelle
géographie du temps,
alors,
les cœurs couleur d’océan,
sombrent dans l’imaginaire,
jusqu’à l’aimer davantage
que la vie elle-même.
martes, 11 de enero de 2011
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1 comentario:
"ciudad de ligero latido larga de sueéno
verdadero corazón del tiempo
tu inacabado arte es como el golpetear
indiferente del mar"
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