viernes, 16 de abril de 2010

Chien andalou



J’ai voulu caresser sa tendre chair véritable
Les paroles disaient : Elle est près de toi
L’immense solitude, juste à l’orée de sa peau

J’ai voulu écrire sur les lignes de sa main
Comme un bohémien au bord d’une falaise
Les baisers désirant le corps tout entier

J’ai voulu laver mon cœur dans la pluie
En m’éveillant d’un songe de printemps
Avec le tranchant d’une lame de rasoir

A genoux dans les ténèbres
Tu as découpé mes paupières
Oh toi ! Mon amour rêvé

8 comentarios:

Andrea dijo...

Me encanta corazón!! es...precioso.

besotes,

A.

ps:...desde aquí y sólo por provocar :P

José María Alloza dijo...

Muchas gracias preciosa
Besitos

PD. jajajaja : te odio hasta siempre nunca jamás :-)

Andrea BR dijo...

¿Nunca jamás, el país de los niños perdidos?
...a vé "peter pan" vamos a tené que hacé algo con esas mallas verdes, si es que no te hacen justicia cariño... :P

(L)pero no hasta siempre, un ratito chico na má.

Rosg dijo...

Une très belle chanson de solitude et de rêve.

J'ai aimé. Merci.

E. Martí dijo...

Rêve et irréalité: l'amour n'est pas toujours aimable. Il cache des coins tragiques.
Bienvenu à mon blog.
Saludos

José María Alloza dijo...

Merci Rosg, c'est vrai il s'agit de rêve et de solitude.
Bises

José María Alloza dijo...

Ma chère Esmeralda, le tragique est –il la preuve de la non contingence de l’amour ? :-)
Bienvenue sur mon blog
Saludos

Rosaida dijo...

Ha sido un placer encontrar tus huellas en mi Jardín. Me han traído hasta tu rincón y me gusta lo que leo y veo.
Besos desde mi Jardín.