Les buchers crépitent,
les flammes illuminent
la nuit du fleuve.
Les jasmins ont oublié
l’agneau carnivore
dans les plis de l’écriture,
c’est l’éclat du silence
glacé
qui berce le cœur brisé,
champ des possibles
de douleur semé.
A Bénarès
le temps s’est arrêté.
4 comentarios:
Tes mots et la photo illustrent bien la beauté lorsque le temps s'arrête, dans ce cas, à Bénarès...
l'éclat du silence glacé
qui berce le coeur brisé,
champ des possibles
de douleur semé.
ça c'est magnifique, genial mon amie.
Andrea, eres un sol, que lo sepas.
Bises
Parfois tout s'arrête dans la douleur, Indigo,
et cependant cela peut-être beau, quand même ...
On est des drôles de zebres, les humains :-)
Bises
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